Biggie Smalls, Versace shades, Moschino jeans & Alize. ODB, Brooklyn Zoo, DJ Randall on the 1’s & 2’s.”
Nostalgia never gets old.
Tag: New York
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Kid Francescoli – I Don’t Know How
Certaines rencontres se distinguent des autres. Je me souviens de cette matinée avec Ashley autour d’un café et de french toast à parler musique avec autant d’enthousiasme. Si ma mémoire est bonne, la première chose qu’elle m’ait faite découvrir était Marijuana de Chrome Sparks, et à chaque fois que je l’écoute, mes souvenirs retournent à New York.
Afin de remercier Ashley et toute l’équipe de me donner aujourd’hui l’opportunité de participer à l’aventure EMPT, j’ai choisi un morceau du nouvel album de Kid Francescoli : With Julia. Ce marseillais ayant collaboré avec Julia Minkin, New Yorkaise, est pour moi une façon symbolique de lier la France à New York pour mon premier article.
Cet opus est synonyme de rencontre et d’échange, derrière chaque morceau se retrouve la complicité des deux artistes. Surpris par Blow Up il y a un an par sa trame, son rythme mais aussi son clip, l’album est une parfaite suite à cette introduction. Agréable à écouter, les pistes s’enchainent, pleines de paresse et de romance s’accordant facilement aux beaux jours que nous promet le mois de mai, le retour de l’été!
Le titre « I don’t know how » m’accompagne dans l’écriture de ce post, une grande première pour moi. Essayer de ne pas tomber dans le cliché n’est finalement pas tâche facile mais je me laisse guider par ces intrus mêlant folk pop et electro et l’agréable voix de cette Julia. Cet album va indéniablement me suivre durant les prochains mois estivaux par son envie de raconter une histoire, comme celles qui s’écrivent chaque été. Le mois de juillet et d’août sont toujours différents et singuliers d’une année à l’autre. Ils sont l’aboutissement d’une année de travail, remplis de festivités et de retrouvailles ; la pression retombe et c’est tout à fait ce à quoi m’amène l’écoute de cet album, avec la pointe de nostalgie d’une année écoulée. Il sonne parfois comme une fin, parfois comme un début, une transition parfaite.
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ASTR – R U With Me
ASTR is a musical project that embodies the youth of America’s creative class.
Its name is semi-ambiguous. What (or who?) is an ASTR? Is it a reference to John Jacob and the rest of the infamous Astor clan? Or does it connote “astro,” the prefix meaning “pertaining to stars”?
Its creation story is rife with both authenticity and irony: “After meeting three years ago in a Manhattan yoga class, they discovered they shared a musical and artistic sensibility informed by cinema noire, Miami Vice and urban dreamscapes.”
Its bios are inspiring in a Wes Anderson-meets-Zoe Deschanel way (never mind that the lead singer is actually named Zoe):
Zoe, a New York native and a “former major label refugee,” met Adam, a “recovering vinyl addict with a penchant for 60s/70s cinema scores, after “a hiatus from music to explore the world via spirituality.”
Can’t make this stuff up folks.
Here we have two true artistes, denizens of Manhattan – that eternal font of creativity – who identify themselves publicly through their quirkiest attributes. Their Soundcloud features covers of Drake and Beck, two mononymous artists that hold significant cache in the salons of the urban artistic elite.
And yet, after all of this intrigue, their music sits comfortably at the radio-ready crossroads of hip-hop, indie electronica and pop.
Dear Zoe and Adam: Please make some music worthy of your bios. Zoe, you are a major label refugee who just “explored the world via spirituality.” Don’t rush back! Adam, where are the cinema score elements and vinyl hiss? Where is the concept album about the rise and fall of the Astor family, and the ironic insider album cover of Astor Place or the New York Public Library main branch?
As we await their reply, I’ll be working on the screenplay. Anyone have Michel Gondry’s phone number?